C'est effectivement pas forcément là que le débat doive s'ouvrir , s'il y a des débatteurs volontaires pour en discuter , on divisera le sujet ...
En résumé: pendant de longues années la pratique VVT se limitait à parcourir des chemins et sentiers existants plus ou moins larges, plus ou moins longtemps. Elle a ensuite évolué - avec les vélos d'ailleurs - vers d'autres pratiques: on parlait alors des descendeurs qui se sont créés des pistes équipées sauvagement avec des modules en palettes de chantier , des tremplins , cette pratique sur des terrains privés sans autorisation a agacé nons eulement les propriétaires, mais également les randonneurs et les chasseurs. Cette partique hard et sauvage à plutôt tendance à diminuer.
Plus insidieusement, on a vu apparaître une catégorie de vététistes intéressés par l'aspect ludique de notre sport: les véttétistes qui empruntent des singles beaucoup plus pentus et qui permettent de progresser en franchissement d'épingles, parfois il fallait même un peu débroussailler ces sentiers, voire inventer des passages ou une roue n'avait peut-être jamais posé son crampon jusque-là.
Certains l'ont fait éthiquement en respectant la nature , d'autres ont fait des excès : sciage, creusage ....cette catégorie de vététistes augmente de manière significative et crée des tensions qui font réagir les propriétaires et autres lobbys plus violemment: barbelés, branchages, clous , ils agissent auprès de mairies qui dans un réflexe manient l'interdiction, voilà le risque ...
Je laisserai les autres compléter avec les travers du Web: fichiers gpx récupérés par les motards, phénomène de stravatisation qui pour obtenir un KOM fait rouler à la sauvage (érosion, cut des épingles etc)
cette situation préoccupante se retrouve dans pleins d'endroit
Voilà aux autres ...